dans la plupart des juridictions que le cannabis est interdit en compétition pour les athlètes de sport de combat. Généralement, cela signifie qu’un athlète ne peut pas consommer de cannabis dans les 24 heures précédant la compétition, mais sinon la consommation n’est pas considérée comme une violation antidopage.

Le problème, cependant, est qu’il n’y a pas de test satisfaisant qui prouve l’utilisation en compétition. Au lieu de cela, les régulateurs adoptent des seuils qui sont «réputés» comme une utilisation en compétition. Si vous dépassez ces seuils, vous êtes coupable même si vous avez arrêté des jours ou des semaines avant la compétition. Cela a entraîné des amendes, des pénalités, de longues suspensions et la stigmatisation d’une violation de dopage aux athlètes qui ont réellement respecté les règles. Un tel résultat devient particulièrement problématique dans le contexte des athlètes qui utilisent le cannabis en médecine qui sont confrontés à une fenêtre incertaine de lorsqu’ils doivent interrompre l’utilisation pour se conformer aux règles.

Le cannabis reste une substance interdite non pas tant parce que les régulateurs et les autorités antidopage pensent qu’il s’agit d’une substance améliorant les performances, mais Moreseo comme un retour à la guerre contre la réglementation des types de médicaments. Le cannabis devenant légal à la fois récréatif et en médecine dans l’augmentation des juridictions nord-américaines, cette mentalité est lentement revisitée. L’AMA a récemment supprimé le CBD comme substance interdite. Certaines commissions sportives ont considérablement réduit leurs sanctions pour violations de la marijuana. Bien qu’il y ait des progrès, la stigmatisation et les pénalités pour un test de dépistage positif demeurent.

En 2013, j’ai discuté de la possibilité que les athlètes recherchent des exemptions d’utilisation thérapeutique («mar)» pour le cannabis comme solution à ce problème. Comme annoncé par le vétéran de l’UFC, Elias Theodorou, je suis heureux d’annoncer que la BC Athletic Commission a accordé ce que je crois être le premier Tue pour le cannabis dans le cadre des sports de combat.

Theodorou, l’un des artistes martiaux mixtes les plus décorés du Canada, a une relation médicale bien documentée avec le cannabis. Il a demandé de manière proactive un mar avec la BC Athletic Commission qui était convaincu que les critères médicaux applicables ont été remplis et l’ont maintenant approuvé avec cette exemption de bienvenue.

Il convient de souligner qu’un TUe Maillots Valencia pour le cannabis dans la compétition n’est pas un glissement d’autorisation pour concurrencer les troubles. Au contraire, Theodorou, tout comme tout autre athlète, ne peut être altéré dans la tête de la compétition, sinon une commission serait de leurs droits de retirer l’athlète de leur combat. Le mar garantit simplement que si Theodorou teste au-dessus du plafond autrement applicable pour une utilisation en concurrence jugée, il ne sera pas coupable d’une violation de dopage. En d’autres termes, Maillots Portugal il pourra utiliser du cannabis médicinal comme prescrit, cessera à une période de temps identifiée et auront la sécurité que ses niveaux mesurables ne conduiront pas à une violation de dopage.

La proactivité avec les commissions sportives est la bonne décision pour les athlètes ayant des besoins médicinaux Maillots LOSC Lille uniques. Theodorou et la BC Athletic Commission méritent tous deux la reconnaissance de cette étape progressive et de la navigation équitable sur un problème antidopage complexe.

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